top of page

ELISABETH BRAINOS

 
  Née en Colombie d’un père ukrainien et d’une mère grecque. Après des études de lettres à Aix en Provence et d’orthophonie à Marseille, elle part enseigner le français à Athènes pendant un an. Puis pendant quelques années fait l’expérience à Paris du théâtre, de l’écriture du journalisme. En 1983 elle revient définitivement à Vallauris où elle ne se consacre plus qu’aux Arts Plastiques.
 
  Elle travaille aussi la sculpture dans des matières diverses: bronze, laiton, bois flottés, pierre, plâtre, ciment emballages perdus, grillage.
 
  Lieux de prédilection “les casses”, les amoncellements d’objets au rébus, éclatés, fracturés, vestiges d’objets aimés, utilisés, dévastés et délaissés, mais auxquels le regard et la main font retrouver une âme.

 

​

 

 

 

ELISABETH BRAINOS SCULPTURES ET LA MATIÈRE,
VISIBLE À LA GALERIE LE CUBE VERNET À AVIGNON

 

Les sculptures figuratives d’Elisabeth Brainos vivent de l’alliance entre les matières : s’il s’agit le plus souvent de bronze parfois additionné de laiton, toujours s’y mêlent résine ou pierres fines (l’améthyste, la turquoise…), feuille d’or ou cristal de roche. Les matériaux se distinguent, se répondent, intensifient le relief et insufflent la vie. Femmes aux vaporeux tutus de cristal de roche et couples embrassés s’élancent alors dans des attitudes dynamiques pour danser, rêver, sauter de la réalité à l’imaginaire de la plasticienne. Simplement poétiques.

 

Du pendentif à la statue de plus de deux mètres, « Ces femmes, je les ai choisies en « état de grâce ». Intemporelles, elles avancent. Elles sont les élues et les dépositaires d’un secret qu’elles ont, ou n’ont pas déchiffré, mais qu’elles tiennent à bout de bras, comme un trésor. Elles vont le transmettre. », écrit la sculptrice.

 

Collectionneurs et collectionneuses pourront réaliser avec les œuvres d’Elisabeth Brainos d’émouvants théâtres de personnages en mouvement.

 

 

 

MULTIPLICITÉ DES RACINES, DES ARTS, DES INSPIRATIONS… ET PUIS, CHAGALL,
À DÉCOUVRIR À AVIGNON

 

Principalement occupée à sublimer ses bronzes à l’aide de pierres semi-précieuses, Elisabeth Brainos n’aime pas les limites et pratique aussi le raku (technique japonaise d’émaillage), la photographie et la peinture à l’acrylique de petits et grands tableaux.

 

Si elle se reconnaît influencée par la Russie moderne ou la Grèce antique, terres de ses parents, on devine dans ses œuvres, fussent-elles en deux ou en trois dimensions, sa passion pour Marc Chagall : le mouvement, les couleurs, la poésie et Saint-Paul-de-Vence, où s’éteignit le peintre et où expose la plasticienne via la galerie Otero. Nul doute que, comme lui, elle eût été l’amie de Guillaume Apollinaire.

 

 

 

ELISABETH BRAINOS DE RÊVERIES EN INSTANTS CAPTURÉS,
À CONTEMPLER À LA GALERIE LE CUBE VERNET

 

Les femmes « confiantes, sereines » de la sculptrice expriment sur un mode poétique ce que l’on balaie parfois d’un revers de main et qui pourtant ponctue l’existence d’inoubliable : des petits riens, des petits plus, des suppléments de vie, « ces moments fugaces, rares et magiques où un oiseau – ce  petit éclat de ciel – se pose sur votre épaule, où un poisson de mer vient jouer au creux de vos mains, où une œuvre vous traverse ».

 

Avec Elisabeth Brainos sculptures, rêve et poésie rendent magique la réalité.

 

 

 

Issue de la rencontre entre plusieurs cultures, c’est très logiquement qu’Elisabeth Brainos expose aujourd’hui ses sculptures, tableaux et photos aux yeux des amateurs et amatrices d’Art contemporain sur plusieurs continents : Côte d’Azur, New-York, Genève, Monaco, Londres, Athènes, Italie, Belgique, Russie...

 

Elle a en outre été la lauréate, en 2010, du prix du jury pour son travail photographique à Kobe, Japon.

 

ART

MUNDI

​
Assossiation
​
    1     9     0    1
bottom of page